Matthieu Cassin



Peut-être faut-il commencer par des détails matériels, même si l'annuaire est aussi là pour cela. Disons que je suis un fervent antiquisant, mais un antiquisant dévoyé vers les périodes tardives ; ou comment allier philosophie, littérature et théologie. Pour faire bref, néo-platonisme et patristique grecque (pour plus de renseignements, me demander en direct...).

Je ne souhaite qu'une chose: que l'aumônerie soit une communauté véritable, une communion, et pas seulement un organisme proposant diverses activités; ou, pour le dire autrement, qu'elle soit un membre vivant de l'Église. Aussi n'est-il pas question de programme... c'est à vous et à nous de construire ensemble.

Quelques points, tout de même, qui me tiennent particulièrement à coeur, et qui ne sont que des modalités d'une même réalité essentielle, que j'évoquais plus haut. Des rencontres fréquentes et le plus informelles possibles, thé, café, chicha ou dîner : ma table est toujours ouverte (quand je suis là... ). Un séminaire que je monte avec quelques camarades, et qui se veut un lieu de réflexion commune et de discussion - argumentée - pour les talas comme pour les autres ; il aura pour thème les relations et influences entre christianisme et société occidentale, philosophie, histoire, théologie, etc., première séance le 17 décembre, autour du corps. À suivre !




Article paru dans Sénevé : Rentrée 2002.


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