1 : Michèle Monteil, Martin Luther, la vie, oui, la vie, Cerf, 1983, p. 289.


2 : Cf. Martin Luther, cité par Michèle Monteil, op. cit. p. 292 : " (...) nous sommes, corps et biens, assujettis au diable, et des étrangers, des hôtes, dns ce monde dont le diable est le prince et le dieu. Le pain que nous mangeons, le breuvage que nous buvons, les vêtements dont nous nous servons, bien plus, l'air que nous respirons et tout ce qui appartient à notre vie dans la chair est donc sous son empire ". Ajoutons une phrase de Ch. Louandre, cité par Gustave Brunet dans sa traduction des Propos de table (Garnier, 1844) : " Luther croît reconnaître le diable dans les mouches qui se posent sur sa Bible et sur son nez, et le retrouve même dans des noisettes " ( !).


3 : Albert Greiner, Luther, Oberlin, 1992, p. 32.


4 : Jean Delumeau, La Peur en Occident, Fayard, 1978, cité par M. Monteil p. 292.


5 : Martin Luther, cité par M. Monteil p. 59. Luther ne prétend pas ici que le mal ait été voulu par Dieu.


6 : Martin Luther, cité par M. Monteil pp. 295-296.


7 : Ibid. p. 381.


8 : Ibid. p. 296.


9 : Martin Luther, cité par M. Monteil p. 140.