1 : Notons l'ouvrage français encore le plus éminent: François-Ponçet (André), Les Affinités électives de Goethe. Essai de Commentaire critique, Paris, Alcan 1910, vii et 276 p.
2 : Citations après l'édition dans la collection de la Pléiade, Goethe (Johann Wolfgang von), Les Affinités électives, dans: Romans. Paris, Gallimard 1954, p. 143-379, la parabole pp. 173 et 175.
Une bonne édition allemande est le "Hamburger Ausgabe": Goethe (Johann Wolfgang von), Die Wahlverwandschaften. Ein Roman, dans: Goethes Werke, t. 4, München, Beck 1973, 8ème édition, pp. 242-490.
3 : Les premières traductions françaises paraitraient en 1810, dont l'un reproduisait le titre par "Les sympathies", cf. Steer (A. G. jr.), Goethe's Elective Affinities. The Robe of Nessus. Heidelberg, Winter 1990, (= Beiträge zur Neueren Literaturgeschichte, Dritte Folge, t. 101), 372 p., p 44, et François-Poncet, op. cit., p. 242.
4 : La plupart des propos suivants sont dus à ces ouvrages: Smeaton (W. A.), Torbern Olof Bergman, dans: Dictionnary of Scientific Biography, t. II, New York, Scribners 1970, p. 4-8; Serres (Michel) (sous la direction de): Eléments d'Histoire des Sciences. Larousse 1997, Paris (collection in extenso), 890 S.
5 : Dans les termes suivants: "[Acidorum particulae] Vi magna Attractiva pollent, & in hac vi consistit earum activitas, qua & Corpora dissolvunt & Organa Sensuum agitant & pungunt." cf. Newton (Isaak): De natura acidorum, dans: Cohen (Bernhard) (éd.), Isaac Newton's Papers & Letters on natural philosophy and related documents. Cambridge, Cambridge University Press 1958, S. 256-258.
6 : L'étymologie de "Wahlverwandschaften" d'après le dictionnaire des frères Grimm, t. 13 (1922), col. 597-599.
7 : Uwe Pörksen, dans son article intitulé Goethes Kritik naturwissenschaftlicher Metaphorik und der Roman "Die Wahlverwandschaften", dans: Jahrbuch der Deutschen Schillergesellschaft 25 (1981), p. 285-315, note que l'entretien pendant lequel le capitaine expose la parabole serait peut-être empruntée à Schelling, à savoir tirée de son article publié dans l'année 1800-1801, tome 2 fasc. 2 de sa revue Zeitschrift für spekulative Physik. Il est vrai que Goethe avait été sous l'influence de Schelling, qui affirmait que des lois seraient applicables indifféremment aux hommes et à la nature.