La rédaction précise par ailleurs qu'elle est l'auteur du compt-rendu délirant de l'AG (on nous a reproché de ne pas avoir signé...), toutes nos excuses au club jeux qui n'a eu que 500 F, et non 1000 comme annoncé.
Allez, requin d'avril !
Dans À tort et à raison (1986) notam-ment, Henri Atlan démontre que la "vérité" scientifique n'est qu'une représentation du monde, qui obéit simplement à d'autres critères que celle issue, par exemple, du mythe. Tout, non, peut-être (1991) pose la question des rapports entre vérité et éducation: Henri Atlan y souligne les dangers de mettre la vérité scientifique au-dessus de toutes les autres, comme une sorte de garantie
la science devrait être placée au même niveau que les autres "pouvoirs", se constituer elle-même en "pouvoir" pour ne pas excéder sa définition, pour éviter la tentation totalitaire qu' elle partage avec certaines religions et idéologies.
Henri Atlan prône donc un "relativisme relativisé" des morales et des cultures, s'inspirant de l'expérience des sophistes une expérience de ce qu'il nomme "pouvoir poétique", le pouvoir lié à la fabrication de l'opinion, médias, intellectuels et artistes. Il montre la fécondité de la "séparation" qui devrait exister entre ces trois "pouvoirs de la parole": le scientifique (proposer une représentation du monde la plus systématique possible), le politique (proposer une utopie, une vision de la société à venir) et le "poétique" (fabriquer et représenter l'opinion de chacun). Le rationalisme "occidental" ne doit plus être, ajoute-t-il, l'apanage de la science, mais un terrain de communication entre les différentes cultures et entre les trois pouvoirs.
L'évolution de la science depuis une trentaine d'années a remisé le positivisme scientiste au placard des théories dépassées. Quelle doit être, en conséquence, la situation du "pouvoir scientifique" dans une société démocra-tique, en matière d'éducation et d'éthique notamment ? Nous vous invitons à débattre de ces questions, le jeudi 7 avril à 20h30 en Salle Dussane, après la présentation qu' Henri Atlan fera sur le thème Les trois pouvoirs de la parole : scientifique, politique et "poétique".
Nous pouvons maintenant sans crainte annoncer : ladite soirée aura lieu le mardi 5 avril (a priori après le ciné-club). Si vous êtes amateurs de boissons irlandaises diverses et de nourriture typique, réservez donc votre fin de soirée et venez la passer avec nous.
Si vous êtes vraiment très motivés, vous pouvez même nous aider... (d'ailleurs de façon générale, la K-Fête a TOUJOURS besoin de permanents)
Vous trouverez donc désormais dans votre Bocal préféré une rubrique Yoshi où je vous expliquerai comment faire facilement 200 ou 300 millions à ce Flip. De plus, tous les 1er et 15 de chaque mois, j'initialiserai la table de ce Flip et le premier de la table gagnera un K-DO biture, comme ça aurait dû être annoncé dans la brochure d'hiver du COF. Me réclamer le K-Do par un mot dans mon casier (TANAKA) ou dans le semi-secret des mails.
D'après P. Amiet et B. André-Leickman du département des antiquités orientales du musée du Louvre, l'épopée de GILGAMESH est l'oeuvre la plus connue de la littérature mésopotamienne. Son héros est un très ancien roi, à demi légendaire, qui régna sur la ville d'Ourouk vers le XXVIIIième siècle avant notre ère. La geste du roi Gilgamesh peut être considérée, de par son contenu, comme la plus ancienne des épopées classiques dont elle contient toutes les idées : voyages longs et pleins d'embûches en pays lointains, intervention des dieux dans les affaires des hommes, combats contre le géants et des monstres invincibles... Elle en comporte aussi l'unité et la leçon morale : l'histoire de Gilgamesh est celle du devenir de l'Homme, vécu à travers une amitié entre deux êtres d'exception, fondée sur une rivalité sublimée. Leurs forces conjuguées les conduisent à l'orgueil, à la démesure, puis au châtiment divin qu'est la mort d'Endikou, le compagnon du héros. Resté seul, saisi d'une angoisse métaphysique, Gilgamesh part chercher dans le monde surnaturel le secret de la vie éternelle, quête désespérée qui le mènera à la résignation.
Prix symbolique : 20 F
J'ai le regret de t'informer que le journal de ton association publie des articles injurieux et diffamatoires. Le dernier, signé Fabien Vasseur, lance des accusations personnelles contre une liste de personnes dont je fais partie. Je me moque de ses campagnes démagogiques et de ses discours anti-matheux (dont je ne fais pas partie, il s'informera mieux la prochaine fois). Je ne pense pas que l'existence de mes parties génitales soit indispensable pour leur conduite. Je m'insurge en constatant que cette ressource de l'association soit l'instrument de tels agissements.
Je proteste devant les accusations suivantes :
et je compte sur l'intelligence de tes électeurs pour ne pas croire en ces mensonges.
De plus, la responsabilité du numéro 116 n'ayant pas été dégagée, j'aimerais savoir de quel droit l'association cautionne de tels agissements. Il n'appartient pas à l'association de prendre position sur toute sorte de problèmes en dehors des assemblées générales dont l'ordre du jour est prévu à cet effet. Puisque tu as travaillé pour l'amélioration de l'image de ce journal, je t'incite à faire le nécessaire pour que de tels articles disparaissent, et à prolonger ton effort à l'image de l'association.
Cordialement,
Stéfane Fermigier n'a en effet écrit qu'un seul message dans ce continuum : il ne me concernait pas, mais visait mon ami Serge Francinou (par ailleurs souvent associé à mon propre nom dans ce contexte), indirectement il est vrai, mais par un procédé rhétorique que chacun peut apprécier à sa juste valeur.
Le fait d'avoir mentionné le nom de Stéfane Fermigier dans mon article est maladroit et injuste : cela relève d'un amalgame que je déplore, car j'avoue n'avoir envers lui aucun des griefs que j'ai formulés, et que je maintiens, à l'encontre des autres personnes citées.
J'impute ce regrettable écart au légitime accès de colère dont j'ai été saisi (et ce texte est une réaction personnelle, qui doit être jugée indépendamment de ma fonction de président) devant le contenu global du continuum et face au travail de sape auquel certains s'y sont livrés.
Rédacteurs d'avril : Frédo, PdT, The Glass, Pétrus, Reno, Zpeat et Jérôme Duplat
Les sautes d'humeur n'engagent que leurs signataires, président du COF compris.
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